C'est reparti. Le travail à distance redevient la norme. Lors de la première vague, passé le premier choc, une bonne partie des naufragés du bureau avaient réussi à retrouver une efficacité à court terme quasi égale voir supérieure à celle qui était la leur dans leur quotidien d'avant.
Alors pourquoi ne sommes-nous pas tous restés à travailler en pantoufles à la maison ? Moins de déplacement, moins de frais de bureaux, plus de productivité, tout le monde y gagne, non ?
Les nombreuses discussions que nous avons eues avec nos clients et nos partenaires à ce sujet sont assez unanimes, ce qui se perd à distance c'est :
Le sentiment de faire partie d'une même aventure. A distance, notre interaction commence brutalement lorsque les webcams s'allument et finit tout aussi brutalement au clap de fin. Ces interactions sont trop courtes pour nous garder connectés avec l'entreprise et la distanciation physique devient une distanciation sociale et émotionnelle.
La perception de la charge des autres et de la tension quotidienne. On ne voit plus les piles de dossiers sur les bureaux ou les personnes qui courent parfois. On ne perçoit plus les changements d'humeur au fil de la journée. Tous ces éléments sont à la base de l'empathie et du sentiment d'appartenance. Ils sont le ciment de la conscience du groupe.
La capacité d'échanger sur les priorités, rapidement, d'une manière informelle, afin d'aider les uns et les autres à se focaliser sur les sujets les plus importants.
L'ambiance, le stress communicatif, la bonne humeur, la petite blague ou la petite histoire qui détend tout en enrichissant le lien social.
Ce qui se perd n'a donc que peu à voir avec le travail en soi, mais c'est ce qui le rend possible, agréable et qualitatif. C'est ce qui permet le développement de la compréhension commune de l'utilité du travail, ce que nous appelons le sens.
Sur un autre plan, ce qui donne au travail son goût. Ce qui lie les personnes et les groupes sociaux, ce qui crée des liens puissants et des souvenirs mémorables, c'est les projets que nous avons réalisés ensemble avec succès en venant à bout de toutes les difficultés.
Si le sens et le goût sont présents et équilibrés, alors l'engagement grandit progressivement. A l'inverse, la dilution progressive du sens va avoir un impact négatif sur l'engagement.
Alors comment stimuler ce lien social, cette dynamique de groupe, cette vie du travail quand on est à distance ?
C'est le paradigme de base de DOOIT. Le sens est placé au cœur de toutes les décisions en :
Permettant de partager une vision commune du travail en cours ou à réaliser, on voit les piles de travail à réaliser. La quantité de travail est perceptible, l'avancement est visible, les résultats sont valorisants et célébrés.
Diffusant un stress naturel partagé pour les échéances. Le travail a une énergie qui varie en fonction du temps dynamiquement.
Gardant tout le monde synchronisé sur les thématiques les plus importantes.
Permettant une communication quasi-naturelle, grâce aux notifications immédiates quand cela est nécessaire et aux résumés quotidiens pour la transmission d'information ne requérant pas une action immédiate.
Nous avons pensé DOOIT pour qu'il favorise les interactions humaines à valeur ajoutée, pour qu'il stimule et capture l'intelligence collective et permette d'en prolonger les effets bien au-delà de son émergence.
Nous avons pensé des solutions qui vivent et respirent au rythme des humains, en phase avec leur besoins, pour en faire le compagnon digital de son efficacité au quotidien.
Découvrez la technologie de demain. Demandez une démo qui vous permettra, quelle que soit votre organisation, centralisée, décentralisée ou en télétravail, de gagner en efficacité, tout en stimulant l'engagement, le sens et le goût du travail bien fait.
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